Voici un post que je suis heureux de publier ici sur notre blog. La thématique est « l’archéologie ».
Son titre (Bons Baisers d’Haïti | Célimène Daudet à l’Auditorium de Bordeaux) synthétise tout le texte.
Sachez que l’auteur (annoncé sous la signature Musée d’Aquitaine) est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres textes qu’il a publiés sur internet.
[A l’Auditorium de Bordeaux, une proposition de l’Opéra de Bordeaux, pour un avant-goût des Bons baisers d’Haïti]
Rencontre avec Célimène Daudet et Corentin Fohlen, suivie de Haïti mon amour, récital piano avec images de Célimène Daudet, à l’Auditorium de Bordeaux
18h : Rencontre avec Célimène Daudet (pianiste) et Corentin Fohlen (photographe). Entrée libre et gratuite.
Haïti mon amour : une déclaration de Célimène Daudet à la terre de ses origines maternelles dont elle a fait un disque et un programme de concert, ici mis en dialogue pour la première fois avec les photographies de Corentin Fohlen. Après plusieurs voyages, Célimène Daudet rapporte de l’île caribéenne des partitions de compositeurs haïtiens peu connus en Europe où ils ont pourtant tous été formés : Ludovic Lamothe, appelé le Chopin noir, mais aussi Justin Élie ou Edmond Saintonge. Chants de la montagne, harmonies nostalgiques, rythmes vaudous, méringues à cinq temps, ces pièces pour piano, écrites au XIXe siècle, résonnent d’un métissage puissant.
Bons baisers d’Haïti, du 14 au 19 novembre 2022
Une manifestation organisée par ALIFS, le Rahmi, le Musée d’Aquitaine et l’Institut des Afriques et labelisée par la Fondation pour la Mémoire de l’esclavage, dans le cadre de la Quinzaine de l’égalité de Bordeaux Métropole.
Bibliographie :
Promenades d’archéologie sous-marine.,livre de référence . Disponible à la FNAC.
National Geographic, archéologie: Chichén Itzá.,Clicker Ici . Disponible dans toutes les bonnes bibliothèques de votre département.
Suzanne Césaire ; archéologie littéraire et artistique d’une mémoire empêchée.,Ouvrage .
L’organisation territoriale de l’archéologie en Europe.,Ouvrage .
